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Un client a signalé avec un cheval qui a un « syndrome naviculaire », ou une inflammation de poulie de sabot. Dans le passé, le cheval avait donc été mis sur des barres d’œufs par un autre forgeron. Malheureusement, cela n’a pas fait de bien au processus dans le sabot et  a causé beaucoup de douleur et d’inconfort à l’animal. Jeroen a libéré son expérience et ses connaissances sur la situation et a remarqué un tendon fléchisseur profond sensible et surchargé, des talons raisonnablement sensibles et une semelle mince qui  offrait une protection minimale à l’os du sabot. La poutre était également malsaine. Après avoir retiré les fers, le cheval s’est avéré être un atterrisseur, ce qui signifie qu’il soulage les talons et utilise ses sabots de manière incorrecte. Après cela, une première couverture a eu lieu, en examinant attentivement ce qui pouvait et ne pouvait pas être enlevé. Cela a commencé par la récupération du sabot et de sa fonction, en tenant compte du fait que le cheval doit pouvoir continuer à bouger. Enfin, l’armure de sabot a été appliquée. Déjà après les 20 premiers mètres après la première couverture, le cheval a atterri à plat. En bref, le cheval osait et pouvait déjà mieux utiliser son sabot d’une manière un peu normale. On s’attend à ce qu’après la prochaine coupe, le cheval puisse et ose atterrir sur le talon. Parce que le cheval n’a pas à travailler pour le moment, Jeroen a choisi cette approche. Si cela n’avait pas été le cas, il aurait opté pour un fer de rupture, posé le plus loin possible, arrondi les branches du fer pour un atterrissage plus doux et appliqué une semelle de remplissage pour activer la poutre et les talons. Dans l’ensemble, une pâte coûteuse comme étape intermédiaire pour marcher pieds nus. Jeroen a pu sauter toute cette étape grâce à l’engagement et à l’efficacité de HoofArmor.  Jeroen de Jong, maréchal-ferrant (FR)